Histoire Courte – Rencontre À La Fac

Cette histoire s’est passée à la fac alors que j’étais encore jeunot. J’étais assez solitaire, assis dans un coin de l’amphi. Pas loin de moi se trouvait un garçon qui devait lui aussi se sentir seul. Il était mignon, blond avec un peu de carrure.
On ne s’est jamais parlé, mais il arrivait souvent que nos regards se croisent et il y avait alors un petit quelque chose.

Pendant les révisions, alors que la fac était plus vide qu’à l’accoutumée, j’étudiais à la bibliothèque quand il est apparu devant moi. Il a fait ce qu’il m’a semblé être un petit mouvement de tête m’invitant à le suivre. Il est sorti rapidement, je me suis levé et l’ai suivi à quelques pas derrière lui. Il sortait de la bibliothèque, et passait derrière la bâtiment, où personne ne va car il n’y a rien.

Il s’arrête, je le rejoins et il me plaque le dos au mur de la BU. Il m’embrasse comme si sa vie en dépendait, tantôt plaquant son corps contre le mien et me tenant les bras au dessus de ma tête, tantôt pétrissant chaque partie de mon corps jusqu’à tâter de mon sexe à travers le pantalon.

Il a déboutonné son jean, baisser son caleçon et m’a regardé. Passablement excité par ce tripotage et cette mise en scène, je me suis agenouillé, et toujours en le regardant, je l’ai masturbé très lentement puis j’ai pris sa bite en bouche. Elle était longue, pas très large, mais recourbée, et le gland était violacé. A genou, je lui léchais la queue avec plaisir, sans me demander si on nous voyait. Il aimait ce que je lui faisais car il soupirait et mettait ses mains contre le mur. Il donnait de petits et lents coups de bassin.

Aimant sucer jusqu’au bout, je m’apprêtais à avaler mais il n’a pas joui. Il s’est retiré, m’a relevé. Il m’a fait comprendre que je devais baisser mon pantalon. J’ai enlevé une chaussure et retiré mon pantalon d’un côté pour aller plus vite. Mon pénis était clairement droit. Le gars était proche de moi et nos sexes se touchaient presque.



Il m’a alors retourné ; j’ai mis les mains contre le mur, me suis penché en avant en cambrant mon dos pour faciliter la pénétration. Il a craché sur ma raie et a étalé sa salive avec son gland. Puis d’un coup il m’a enculé, toute la longueur de sa bite d’un coup. Il a mis sa main sur ma bouche pour mes cris. Il me pilonnait avec force et vigueur. Il rentrait et sortait rapidement. C’était très bon. Il soupirait, je gémissais. Il n’était pas doux mais sauvage et égoïste, sans considération pour moi.

Il m’a ensuite pénétré si fort que ça m’a plaqué contre le mur, ma bite étant alors comprimée entre mon ventre et le mur derrière lequel des étudiants révisaient. Il ne sortait plus de moi mais donnait des coups de reins que j’accompagnais.

Après un long moment de délices, il a finit par jouir en évacuant tout son sperme en moi. Il est resté figé en dedans et ne débandait pas, moi non plus. Il s’est allongé, je me suis assis sur lui, sa tête dans mon dos, les jambes pliées et écartées comme un poulet. J’ai saisi sa queue pour la diriger dans mon cul et j’ai sauté sur lui, me soulevant et retombant le long de sa tige. Il a saisit la mienne et m’a branlé jusqu’à ce que j’éjacule sur mon ventre. Il s’est à nouveau vidé les couilles, m’a basculé sur le côté, s’est rhabillé puis est parti, et moi après lui.

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